- Messages : 82
- Remerciements reçus 0
Terminologie du piano
- Steiffano
- Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Nouveau membre
Moins
Plus d'informations
il y a 16 ans 3 mois #125
par Steiffano
Qui va piano, va sano et lontano.
Terminologie du piano a été créé par Steiffano
Pour se familiariser avec la monenclature du piano et de sa mécanique, j'espère que cette terminologie vous aidera à décrire vos soucis et à commander vos pièces détachées auprès des professionnels.
Les textes et illustrations sont issus du célèbre DUDEN, le dictionnaire en images de HARRAP. C'est une édition allemande de 1962, imprimée à Mannheim trouvée aux puces. Les droits sont libres dès lors qu'une modification est apportée aux textes ou aux dessins.
Les différentes parties d'un piano :
Le mécanisme du marteau :
Les textes et illustrations sont issus du célèbre DUDEN, le dictionnaire en images de HARRAP. C'est une édition allemande de 1962, imprimée à Mannheim trouvée aux puces. Les droits sont libres dès lors qu'une modification est apportée aux textes ou aux dessins.
Qui va piano, va sano et lontano.
Connexion pour participer à la conversation.
- Phil
- Hors Ligne
- Nouveau membre
Moins
Plus d'informations
- Messages : 30
- Remerciements reçus 0
il y a 15 ans 11 mois #288
par Phil
Réponse de Phil sur le sujet Terminologie du piano
trouvé sur le net:
Si ça peut etre utile...
Différentes parties d'un piano
Le clavier
Le clavier sur la majorité des pianos, est composé de 88 touches (7 octaves, et quelques autres notes). Les 52 touches blanches correspondent aux notes non altérées, et les 36 touches noires aux notes altérées (dièse ou bémol).
Certains claviers, notamment chez Bösendorfer, peuvent parfois atteindre 8 octaves. D'autres dits d'étude peuvent descendre à 5 ou 6 octaves.
Une octave sur un clavier correspond à cette alternance de touches : blanche, noire, blanche, noire, blanche, blanche, noire, blanche, noire, blanche, noire, blanche.
Le mécanisme
Le fait de produire les sons par percussion oblige à utiliser une mécanique complexe.
Contrairement aux instruments à corde pincée (clavecin, etc.), le piano nécessite un mécanisme d'échappement. En effet, lorsque le marteau est propulsé vers la corde par l'action de la touche, s'il y avait liaison directe entre le clavier et le marteau, ce dernier resterait bloqué sur la corde, entraînant un étouffement de la note aussitôt le son produit. Pour éviter ceci, le marteau est propulsé par l'intermédiaire d'une pièce en forme d'équerre, le bâton d'échappement, qui bascule en arrière lorsque sa partie horizontale atteint une butée (réglable). Grâce à ceci, le marteau est libre de repartir en arrière lorsqu'il a percuté la corde, lui permettant de produire son son.
Pour éviter que le marteau ne reparte sans contrôle dans la mécanique, il se bloque dans l'attrape, pièce solidaire du chevalet (pièce de base du mécanisme, à ne pas confondre avec le chevalet de table d'harmonie, qui porte les cordes).
Simultanément, l'enfoncement de la touche actionne l'étouffoir, permettant à la corde de vibrer librement jusqu'au relâchement de la touche.
Le système qui vient d'être décrit (présent sur tous les pianos depuis l'origine) a un grave défaut : rien n'est prévu pour jouer à nouveau la note rapidement.
Pour régler ce difficile problème, Sébastien Érard inventa le système dit --à tort-- double échappement. Dans ce mécanisme, on a ajouté un levier supplémentaire et un ressort placé de manière à repousser le mécanisme vers le bas et le marteau vers le haut. Dans ce cas, lorsque le marteau échappe à l'attrape par relâchement de la touche, il est aussitôt replacé au-dessus du bâton d'échappement, permettant de rejouer sans même avoir relâché la touche entièrement (si le ressort est trop tendu, il arrive même que le marteau refrappe tout seul la corde : c'est le phénomène de grelottage). Ce mécanisme est présent sur tous les pianos à queue modernes et sur aucun piano droit.
Bien évidemment, il n'existe qu'un seul mécanisme d'échappement dans ces pianos, mais le fait de pouvoir rejouer rapidement la note donne l'impression qu'un autre mécanisme prend la suite. Il vaudrait mieux parler de mécanisme de répétition.
Le pédalier
Le pédalier d'un piano est généralement composé de 2 ou 3 pédales.
À droite, la pédale forte sert à prolonger le son en empêchant les étouffoirs de s'appuyer sur les cordes une fois les touches relâchées.
À gauche, la pédale douce (ou una corda) déplace le clavier d'un piano à queue et les marteaux de manière à ce qu'il n'y ait plus que deux des trois cordes d'une note qui soit frappée (ou, sur certains appareils, que les trois cordes soient frappées avec la partie moins tassée des marteaux). Sur un piano droit, cette pédale rapproche les marteaux des cordes, ce qui diminue la vitesse de frappe. Dans les deux cas, le son est moins fort, comme avec la sourdine, mais sans déformer le son.
Sur certains pianos se trouve au milieu, une pédale de soutien (ou de sostenuto, ou tonale) qui permet de tenir les notes déjà appuyées au moment où cette pédale est enfoncée (et non toutes les notes qui sont jouées tant que cette pédale est enfoncée, comme c'est le cas de la pédale forte), ce qui la rend pratique pour tenir des accords. Cette pédale est plus souvent présente sur les pianos de concert que sur les pianos d'étude.
Sur certains pianos droits, la pédale du milieu est une sourdine servant à réduire le volume sonore grâce à un feutre s'intercalant entre les marteaux et les cordes. Cette sourdine ne joue aucun rôle dans l'interprétation mais est utilisée pour le travail en appartement.
Partie acoustique
Les cordes sont faites en acier de diamètre variable (plus mince dans l'aigu). Les cordes de grave sont dites filées dans la mesure où elles sont gainées d'un fil de cuivre destiné à les alourdir (sinon, le piano devrait être bien trop long).
Chaque corde est tendue entre une cheville (qui sert à accorder) et une pointe d'accroche. La cheville est plantée dans une planche en bois nommée sommier. La tension des cordes étant d'environ 800 N, les 250 cordes d'un piano exercent une traction de plusieurs tonnes.
La longueur vibrante de la corde est comprise entre une agrafe (ou une barre du cadre) et le chevalet de table d'harmonie. La corde présente une bien trop petite surface pour produire un son exploitable. Elle transmet donc sa vibration à la table d'harmonie par le chevalet, grâce à la position surélevée de ce dernier par rapport aux agrafes et aux pointes d'accroche. Cette position surélevée permet à la corde d'appuyer sur la table d'harmonie et de transmettre plus facilement son énergie vibratoire.
Les notes les plus graves n'ont qu'une corde par note, les intermédiaires ont deux cordes, les aiguës trois, parfois quatre (deux sur les pianos anciens, d'où le nom d'una corda donné à la pédale douce).
Les cordes sont frappées par des marteaux, anciennement munis d'une petite tête en bois recouvert de cuir (pianoforte), actuellement munis d'une grosse tête recouverte de feutre tendu.
la table d'harmonie. C'est une mince planche de bois (idéalement plus mince au bord qu'au milieu). Elle est renforcée par des côtes en bois (barres d'harmonie). Elle est mise en vibration par l'intermédiaire des chevalets, eux-mêmes mis en charge par les cordes.
Les chevalets doivent être le plus au centre possible de la table, car les bords de la table sont fixés et ne peuvent pas vibrer. C'est la raison pour laquelle, sur les très grands pianos, les cordes n'atteignent pas le bout de la table, et pour laquelle on croise les cordes sur les pianos modernes (cela évite que les notes extrêmes soient trop près du bord de la table).
Structure
Classiquement, le piano repose sur de grosses poutres, nommées barrage. Sur le piano droit, elles se situent derrière l'instrument.
Sur le piano ancien, il n'y a pas d'autre structure de renforcement. C'est ce qu'on appelle -à tort- des pianos à cadre bois.
Sur le piano moderne, on a commencé à ajouter, du côté des cordes, de petits renforts métalliques, puis de grandes poutres métalliques parallèles (sur les pianos à cordes parallèles), puis un cadre monobloc en fonte, permettant le croisement des cordes.
Sur certains pianos droits économiques, le cadre métallique est fait de telle manière qu'il n'y a plus besoin de barrage (cadre autoporteur).
Le piano est entouré d'une caisse en bois, nommée ceinture.
Si ça peut etre utile...
Différentes parties d'un piano
Le clavier
Le clavier sur la majorité des pianos, est composé de 88 touches (7 octaves, et quelques autres notes). Les 52 touches blanches correspondent aux notes non altérées, et les 36 touches noires aux notes altérées (dièse ou bémol).
Certains claviers, notamment chez Bösendorfer, peuvent parfois atteindre 8 octaves. D'autres dits d'étude peuvent descendre à 5 ou 6 octaves.
Une octave sur un clavier correspond à cette alternance de touches : blanche, noire, blanche, noire, blanche, blanche, noire, blanche, noire, blanche, noire, blanche.
Le mécanisme
Le fait de produire les sons par percussion oblige à utiliser une mécanique complexe.
Contrairement aux instruments à corde pincée (clavecin, etc.), le piano nécessite un mécanisme d'échappement. En effet, lorsque le marteau est propulsé vers la corde par l'action de la touche, s'il y avait liaison directe entre le clavier et le marteau, ce dernier resterait bloqué sur la corde, entraînant un étouffement de la note aussitôt le son produit. Pour éviter ceci, le marteau est propulsé par l'intermédiaire d'une pièce en forme d'équerre, le bâton d'échappement, qui bascule en arrière lorsque sa partie horizontale atteint une butée (réglable). Grâce à ceci, le marteau est libre de repartir en arrière lorsqu'il a percuté la corde, lui permettant de produire son son.
Pour éviter que le marteau ne reparte sans contrôle dans la mécanique, il se bloque dans l'attrape, pièce solidaire du chevalet (pièce de base du mécanisme, à ne pas confondre avec le chevalet de table d'harmonie, qui porte les cordes).
Simultanément, l'enfoncement de la touche actionne l'étouffoir, permettant à la corde de vibrer librement jusqu'au relâchement de la touche.
Le système qui vient d'être décrit (présent sur tous les pianos depuis l'origine) a un grave défaut : rien n'est prévu pour jouer à nouveau la note rapidement.
Pour régler ce difficile problème, Sébastien Érard inventa le système dit --à tort-- double échappement. Dans ce mécanisme, on a ajouté un levier supplémentaire et un ressort placé de manière à repousser le mécanisme vers le bas et le marteau vers le haut. Dans ce cas, lorsque le marteau échappe à l'attrape par relâchement de la touche, il est aussitôt replacé au-dessus du bâton d'échappement, permettant de rejouer sans même avoir relâché la touche entièrement (si le ressort est trop tendu, il arrive même que le marteau refrappe tout seul la corde : c'est le phénomène de grelottage). Ce mécanisme est présent sur tous les pianos à queue modernes et sur aucun piano droit.
Bien évidemment, il n'existe qu'un seul mécanisme d'échappement dans ces pianos, mais le fait de pouvoir rejouer rapidement la note donne l'impression qu'un autre mécanisme prend la suite. Il vaudrait mieux parler de mécanisme de répétition.
Le pédalier
Le pédalier d'un piano est généralement composé de 2 ou 3 pédales.
À droite, la pédale forte sert à prolonger le son en empêchant les étouffoirs de s'appuyer sur les cordes une fois les touches relâchées.
À gauche, la pédale douce (ou una corda) déplace le clavier d'un piano à queue et les marteaux de manière à ce qu'il n'y ait plus que deux des trois cordes d'une note qui soit frappée (ou, sur certains appareils, que les trois cordes soient frappées avec la partie moins tassée des marteaux). Sur un piano droit, cette pédale rapproche les marteaux des cordes, ce qui diminue la vitesse de frappe. Dans les deux cas, le son est moins fort, comme avec la sourdine, mais sans déformer le son.
Sur certains pianos se trouve au milieu, une pédale de soutien (ou de sostenuto, ou tonale) qui permet de tenir les notes déjà appuyées au moment où cette pédale est enfoncée (et non toutes les notes qui sont jouées tant que cette pédale est enfoncée, comme c'est le cas de la pédale forte), ce qui la rend pratique pour tenir des accords. Cette pédale est plus souvent présente sur les pianos de concert que sur les pianos d'étude.
Sur certains pianos droits, la pédale du milieu est une sourdine servant à réduire le volume sonore grâce à un feutre s'intercalant entre les marteaux et les cordes. Cette sourdine ne joue aucun rôle dans l'interprétation mais est utilisée pour le travail en appartement.
Partie acoustique
Les cordes sont faites en acier de diamètre variable (plus mince dans l'aigu). Les cordes de grave sont dites filées dans la mesure où elles sont gainées d'un fil de cuivre destiné à les alourdir (sinon, le piano devrait être bien trop long).
Chaque corde est tendue entre une cheville (qui sert à accorder) et une pointe d'accroche. La cheville est plantée dans une planche en bois nommée sommier. La tension des cordes étant d'environ 800 N, les 250 cordes d'un piano exercent une traction de plusieurs tonnes.
La longueur vibrante de la corde est comprise entre une agrafe (ou une barre du cadre) et le chevalet de table d'harmonie. La corde présente une bien trop petite surface pour produire un son exploitable. Elle transmet donc sa vibration à la table d'harmonie par le chevalet, grâce à la position surélevée de ce dernier par rapport aux agrafes et aux pointes d'accroche. Cette position surélevée permet à la corde d'appuyer sur la table d'harmonie et de transmettre plus facilement son énergie vibratoire.
Les notes les plus graves n'ont qu'une corde par note, les intermédiaires ont deux cordes, les aiguës trois, parfois quatre (deux sur les pianos anciens, d'où le nom d'una corda donné à la pédale douce).
Les cordes sont frappées par des marteaux, anciennement munis d'une petite tête en bois recouvert de cuir (pianoforte), actuellement munis d'une grosse tête recouverte de feutre tendu.
la table d'harmonie. C'est une mince planche de bois (idéalement plus mince au bord qu'au milieu). Elle est renforcée par des côtes en bois (barres d'harmonie). Elle est mise en vibration par l'intermédiaire des chevalets, eux-mêmes mis en charge par les cordes.
Les chevalets doivent être le plus au centre possible de la table, car les bords de la table sont fixés et ne peuvent pas vibrer. C'est la raison pour laquelle, sur les très grands pianos, les cordes n'atteignent pas le bout de la table, et pour laquelle on croise les cordes sur les pianos modernes (cela évite que les notes extrêmes soient trop près du bord de la table).
Structure
Classiquement, le piano repose sur de grosses poutres, nommées barrage. Sur le piano droit, elles se situent derrière l'instrument.
Sur le piano ancien, il n'y a pas d'autre structure de renforcement. C'est ce qu'on appelle -à tort- des pianos à cadre bois.
Sur le piano moderne, on a commencé à ajouter, du côté des cordes, de petits renforts métalliques, puis de grandes poutres métalliques parallèles (sur les pianos à cordes parallèles), puis un cadre monobloc en fonte, permettant le croisement des cordes.
Sur certains pianos droits économiques, le cadre métallique est fait de telle manière qu'il n'y a plus besoin de barrage (cadre autoporteur).
Le piano est entouré d'une caisse en bois, nommée ceinture.
Connexion pour participer à la conversation.
- Steiffano
- Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Nouveau membre
Moins
Plus d'informations
- Messages : 82
- Remerciements reçus 0
il y a 15 ans 11 mois #327
par Steiffano
Qui va piano, va sano et lontano.
Réponse de Steiffano sur le sujet Terminologie du piano
Très bien cet article, peu importe s'il est de toi ou d'un autre. Te serais-il possible d'utiliser les numéros des 2 illustrations ci-dessus pour bien repérer les différents éléments cités ? Tu repiques les 2 images dans ta discussion et après je supprime mon article qui n'aura plus lieu d'être. :cool:
Qui va piano, va sano et lontano.
Connexion pour participer à la conversation.
- Phil
- Hors Ligne
- Nouveau membre
Moins
Plus d'informations
- Messages : 30
- Remerciements reçus 0
il y a 15 ans 11 mois #337
par Phil
Réponse de Phil sur le sujet Terminologie du piano
j'arrive pas à "repiquer" les images....
Repique le texte si tu veux toi :lol:
Repique le texte si tu veux toi :lol:
Connexion pour participer à la conversation.
- projo
- Hors Ligne
- Nouveau membre
Moins
Plus d'informations
- Messages : 51
- Remerciements reçus 0
il y a 15 ans 11 mois #340
par projo
Réponse de projo sur le sujet Terminologie du piano
Pourquoi " C'est ce qu'on appelle -à tort- des pianos à cadre bois." Le "vrai " cadre bois ( barrage et armature en poutres de gros calibres ) n'a pas de renfort métallique, les pointes d'accroches des cordes sont toutefois fixées dans une plaque métallique au moins dans les basses.
Puis il à tous les pianos que l'on peut appeler "cadre bois renforcé" avec des renforts divers, en général devant la table mais parfois derrière dans le barrage. Ensuite il y a les différents cadres métalliques ( en fonte ). La production des piano n'était pas standardisée comme aujourd'hui au XIXe me ni même dans la première partie du XXe me siècle, c'est pourquoi il n'est pas possible d'établir de règles strictes. Il est possible de tomber sur un cadre bois renforcé avec cordes croisées, de trouver un piano droit des années 1890 étonnamment moderne avec cadre en fonte croisée et mécanique à lame, un grand droit des années 1930 sans barrage mais avec cadre autoporteur, un autre sans barres de table.... C'est la même choses pour les mécaniques...
Il existe un petit livre ( peut être déjà cité dans le forum ? ) en français qui s'appelle " Guide pratique du piano pour l'amateur et le professionnel " de Daniel Magne, édition Francis Van de Velde. Il est pas chère et il comporte des nomenclatures et pas mal de réponses aux questions que l'on peux se poser sur les pianos.
Puis il à tous les pianos que l'on peut appeler "cadre bois renforcé" avec des renforts divers, en général devant la table mais parfois derrière dans le barrage. Ensuite il y a les différents cadres métalliques ( en fonte ). La production des piano n'était pas standardisée comme aujourd'hui au XIXe me ni même dans la première partie du XXe me siècle, c'est pourquoi il n'est pas possible d'établir de règles strictes. Il est possible de tomber sur un cadre bois renforcé avec cordes croisées, de trouver un piano droit des années 1890 étonnamment moderne avec cadre en fonte croisée et mécanique à lame, un grand droit des années 1930 sans barrage mais avec cadre autoporteur, un autre sans barres de table.... C'est la même choses pour les mécaniques...
Il existe un petit livre ( peut être déjà cité dans le forum ? ) en français qui s'appelle " Guide pratique du piano pour l'amateur et le professionnel " de Daniel Magne, édition Francis Van de Velde. Il est pas chère et il comporte des nomenclatures et pas mal de réponses aux questions que l'on peux se poser sur les pianos.
Connexion pour participer à la conversation.
Temps de génération de la page : 0.213 secondes