Non il s'agissait pas de pianos a 150000 Euros ni de pianistes capricieux, mais d'amateurs qui aimaient mettr eles amins eux memes dans leur piano ancien (ou pas d'ailleurs) ça fait 2 réponses que tu fait qui dénotent l'esprit , "faut pas trop en faire" , genre " ça sera toujours assez bon pour ce que c'est".
Perso si je connais un truc pas cher et qui arrange bien, je l'emploie ; en revanche c'est un effort de trouver des mouches Yamaha ou de les acheter chez Renner.
C'est dans le détail que l'on aide le piano a bien marcher et a mieux sonner, alors y penser (au détail) évite, même dans un travail basique, de handicaper le résultat (et tu peux pas savoir combien j'en vois de pianos réglés a la va vite avec le mauvais matériau employé en réparation, au prétexte que 'c'est pour un vieux coucou'
Dans le désordre, les mouches de balancier papier laissées par dessus la mouche en drap, du feutre de coussin en fond de clavier (d'ailleurs collé sur toute la largeur au lieu du tiers) le clavier recalé avec des cales en carton seulement la ou il y a des vis et qui fléchit quand on appuie dessus. le pivotage pas fait en entier. les mouches d'enfoncement jamais changées, le drap pas passé dans les capsules, les pointes de balancier tournées a fond au lieu de regarnir, je ne parle pas des marteaux, des atrappes, etc.
A force on a une réputation de bricolos alors que certains ont un réel savoir faire en finition et en travail des pianos "dans leur jus".
Le principe pour moi serait plutôt d'apprendre a faire dans un temps raisonnable les opérations les plus valables.
ET des pioanos de concertistes j'en ai vu pas mal, certains extrêmement mal entretenus, entre autres parce que la maintenance ets un concept inconnu des accordeurs la plupart du temps (au Japon, un "accord" prend 3heures) .
QUand je t'entend dire qu'un réglage dure 50 ans je reste songeur...
